Dans un monde où le dérèglement climatique et les inégalités sociales exigent une refonte profonde des modèles économiques, la Green Management School (GMS), co-fondée par Audrey Pulvar en 2020, émerge comme un fer de lance innovant. Ancienne journaliste et ex-présidente de la Fondation Nicolas Hulot, elle préside le comité scientifique de cette école rattachée au groupe MediaSchool, aux côtés de Franck Papazian et Franck Kerfourn. Loin d’être un simple ajout vert à l’éducation traditionnelle, la GMS disrupte le paysage de la formation en management en plaçant la transition écologique et solidaire au cœur de la stratégie d’entreprise. Son utilité ? Former des leaders capables de transformer les organisations pour un impact positif, évitant le greenwashing au profit d’actions concrètes qui propulsent notre avenir vers une économie régénérative.
Une Innovation dans la Formation des Managers
La Green Management School rompt avec les cursus classiques en adoptant une pédagogie blended learning : 70 % des cours en e-learning et 30 % en présentiel sur neuf campus (Paris, Lyon, Marseille, etc.), accessible à tous les profils post-bac+3. Ce mastère en « Transition Écologique et Solidaire », adossé au titre RNCP niveau 7 « Manager du Développement Durable », intègre cinq axes transversaux : affirmation d’une pensée altruiste, expertise systémique, pensée critique bienveillante, esprit d’innovation et disruption managériale. Des experts comme François Gemenne (géopolitique environnementale) ou Dominique Bourg (philosophie écologique) interviennent, mêlant sciences naturelles, sociales et entrepreneuriales. Neutre en carbone, l’école favorise l’alternance (quatre jours en entreprise, un en formation), rendant l’apprentissage flexible et professionnalisant. Cette approche hybride, lancée en pleine crise sanitaire, démocratise l’accès à une expertise rare, formant non pas des théoriciens, mais des « architectes du changement » prêts à infuser la RSE dans le quotidien des entreprises.
Tous les chefs d’entreprise que je rencontre y sont favorables, mais peu sont structurés pour mettre en place cette politique responsable.
Président du groupe MediaSchool
Un Impact Disruptif sur les Organisations et la Société
Disruptive par essence, la GMS défie les logiques court-termistes en formant des green managers qui repensent les chaînes de valeur pour une sobriété réelle. Les étudiants, via des visites d’entreprises innovantes et des hackathons, apprennent à piloter des politiques RSE anti-greenwashing, à créer des green start-ups ou à animer des transitions sociétales. Classée 2e au palmarès Speak & Act 2025 des meilleures expériences en RSE, l’école répond à un marché en tension : 95 % des diplômés intègrent des postes en développement durable, selon les retours alumni. En intégrant l’économie sociale et solidaire, l’énergie ou le design thinking, la GMS disrupte les business schools traditionnelles, prouvant que rentabilité et résilience environnementale sont compatibles. Audrey Pulvar l’affirme : face à l’urgence, il faut « changer d’échelle » pour une génération de managers qui libère l’innovation frugale et critique les modèles extractivistes.
Une Utilité Tangible pour Forger l’Avenir Collectif
L’utilité de la Green Management School transcende l’employabilité : elle arme la société contre le collapse en multipliant les acteurs de la transition. En 2025, avec des rentrées décalées et des formations « executive », l’école touche des professionnels en reconversion, favorisant une économie vertueuse accessible partout en France. Les alumni témoignent d’une transformation profonde : « J’en ressors changée, avec des outils pour la décarbonation des structures », confie une diplômée. Les partenariats avec des entreprises clientes de MediaSchool assurent une insertion rapide, tandis que le conseil scientifique, piloté par Audrey Pulvar, garantit une actualité des contenus face aux réglementations européennes comme la CSRD.
Ainsi, la Green Management School n’est pas qu’une école ; c’est un levier systémique pour un avenir désirable, où le management protège la planète et renforce la cohésion sociale, prouvant que l’éducation disruptive est la clé d’une résilience collective.

